Nos actualités associatives

Le ProDAS fête ses 20 ans à Marseille

Le Programme de Développement Affectif et Social (ProDAS) a été conçu en Amérique du Nord il y a 50 ans. En 2005, le Planning Familial 13 se forme et importe le programme en Europe et le développe dans les écoles maternelles, élémentaires, les collèges et, depuis 2018, dans les lycées professionnels. Le ProDAS s’appuie sur la pratique de cercles de paroles et d’activités pédagogiques. C’est un programme de promotion précoce en santé mentale qui vise à favoriser le bien-être et prévenir les violences en développant les compétences psycho-sociales.

En 20 ans, nous avons formé et accompagné plus de 1 000 enseignant.es. Le programme a directement été déployé auprès de 7 500 élèves de 4 à 18 ans des Bouches-du-Rhône. Aujourd’hui, le ProDAS est en cours de déploiement sur l’ensemble de la région Provence-Alpes-Côte-d’Azur ainsi que dans un grand nombre de départements du territoire national.

Le Planning Familial 13 vous invite à célébrer les 20 ans du ProDAS autour d’une journée de rencontre et d’échanges professionnels

Le mercredi 3 décembre 2025
A 9h aux Archives Départementales (18-20 rue Mirès – 13003 Marseille)

Programme
 
9h : accueil - café

9h30 – 12h30 : Le ProDAS d’hier à aujourd’hui - historique et témoignages :
- présentation du ProDAS par le Planning Familial 13 ;
- prise de parole des financeurs et partenaires ;
- témoignages d'enseignant.es formé.es et exerçant le ProDAS.

14h – 14h45 : Le PRODAS : un programme "Compétences PsychoSociales " pour promouvoir la santé - Marie-Claure Lagouanelle - AMU-APHM

15h – 16h30 : Ateliers d’analyse de la pratique pour les personnes pratiquant le ProDAS
ou Atelier pour les opérateurs régionaux ProDAS
ou Atelier de découverte du ProDAS

L’inscription est gratuite et obligatoire (dans la limite des places disponibles), nous réservons la priorité aux personnes exerçant en région Provence-Alpes-Côte-d’Azur.

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Que faire ce mois-ci pour s’informer et agir contre les violences sexistes et sexuelles

Le mois de novembre est un temps fort de mobilisation contre les violences sexistes et sexuelles (VSS), les violences faites aux femmes, aux enfants et aux minorités de genre. Quelques rendez-vous passés et à venir à Marseille.

5 novembre – Sortie cinéma : La Vague de Sebastián Lelio

Un film puissant inspiré de la révolte féministe chilienne de 2018, qui interroge les mécanismes des violences sexistes et sexuelles et les mouvements collectifs de résistance. En salle dès le 5 novembre !

15 novembre – Manifestations enfantistes

Partout en France, des manifestations enfantistes ont eu lieu pour dénoncer les violences faites aux enfants et aux adolescents et adolescentes. Une journée pour rendre visibles les plus jeunes victimes et soutenir la parole des enfants !

20 novembre – Inauguration du Mémorial LGBT à Marseille au centre lgbtqia+

Le Centre LGBTQIA+ a accueilli le 20 novembre, journée du souvneir trans, la cérémonie d’inauguration du Mémorial LGBT, imaginé par les artistes et militantes Selva Gonzalez et Luz Volckmann. Cette fresque participative rend hommage aux personnes LGBTQIA+ disparues à Marseille et invite chacun et chacune à y déposer photos, souvenirs ou mots de mémoire.

Du 19 au 28 novembre – “L’inceste, on en parle, on agit !” avec Les Bonnes Mères

L’association Les Bonnes Mères organise à Marseille une série de rencontres, débats, expositions et spectacles autour du thème de l’inceste. Un programme riche, ouvert à tous et toutes, en grande partie gratuit.

Du 22 au 28 novembre – Semaine de lutte contre les violences faites aux femmes

La Ville de Marseille consacre une semaine entière d’événements, de conférences et d’actions de sensibilisation autour de la journée mondiale du 25 novembre des luttes contre les violences faites aux femmes.

22 & 25 novembre – “J’Crains Dégun” à la Friche la Belle de Mai

Le CIDFF Phocéen, Solidarité Femmes 13 et le Planning Familial 13 s’associent pour la 4ᵉ édition de J’Crains Dégun, un événement festif et engagé pour l’élimination des violences à l’égard des femmes et des minorités de genre.

25 novembre – Zone d’Occupation Féministe (ZOF) sur le PARVIS DE L’HÔTEL DE VILLE

À l’occasion de la journée internationale de lutte contre les violences faites aux femmes, le collectif Nous Toutes Marseille organise une Zone d’Occupation Féministe sur le parvis de l'Hôtel de Ville : le Planning familial 13 y tiendra un stand à partir de 16h jusqu'aux prises de parole qui auront lieu à 18h30. Et à 19h, début de la manif !

Groupe Miroir de la CIIVISE : les jeunes luttent contre les violences sexuelles

Lutter contre les violences sexuelles faites aux enfants : un enjeu de société et de santé publique

En France, 160 000 enfants sont victimes de violences sexuelles chaque année, et 77 % de ces violences se produisent au sein du cercle familial. Cela équivaut à dire qu’1 enfant sur 10 subit de l’inceste.

L’inceste est inscrit dans le Code pénal depuis 2016 (article 222-22-3), mais les chiffres montrent la persistance du silence et de la défaillance des adultes protecteurs. Ces constats ont conduit le gouvernement à renforcer le Plan de lutte contre les violences faites aux enfants 2023-2027, confié à la CIIVISE (Commission Indépendante sur l’Inceste et les Violences sexuelles faites aux Enfants).

La CIIVISE se donne pour mission de construire un programme où les voix des mineurs occupent une place centrale et orientent les actions menées.

Le GROUPE miroir : penser avec les jeunes, pas seulement pour eux

Le Groupe Miroir, créé par la CIIVISE en 2024, s’inspire d’expériences participatives menées depuis 2016 dans d’autres domaines (lutte contre les exclusions, reconnaissance des victimes de violences dans l’Église). Il bénéficie du soutien COFRADE (Conseil Francais des Associations pour les Droits de l’Enfant)  et de CAMALEON France, une association de solidarité internationale qui développe une approche globale pour agir sur les causes et les effets des violences sexuelles à l’égard des enfants et des adolescents.

Ce groupe réunit 15 jeunes âgés de 14 à 17 ans, venus de toute la France. Ils et elles ont travaillé pendant un an sur trois thèmes principaux : la pair‑aidance entre jeunes victimes, la prévention de la pédocriminalité en ligne et la recherche sur le parcours des victimes.

Certaines propositions du Groupe Miroir reprennent les recommandations déjà émises par la CIIVISE en 2023, non pas par redondance, mais parce qu’elles en soulignent la force et l’urgence. Les jeunes y apportent une parole vivante, un éclairage nouveau qui renforce la portée des travaux de la commission. Leurs contributions confirment la nécessité d’agir, ici et maintenant.

“Ce groupe miroir est le reflet d’une jeunesse qui se lève, refuse le silence et agit.”

Le Planning Familial : un acteur de terrain engagé pour la parole et la protection des jeunes

 

Le Planning Familial agit depuis toujours pour l’émancipation et la protection des jeunes, en plaçant la parole et la prévention au cœur de ses actions. Dans ses permanences et ses interventions en milieu scolaire, il offre des espaces d’écoute confidentiels et gratuits, où chaque jeune peut être accueilli et entendu sans jugement.

Cette écoute s’accompagne d’un travail de formation des professionnels pour mieux repérer et accompagner les situations de violences. Les séances d’éducation à la vie affective, relationnelle et sexuelle (EVARS) complètent cette mission : elles permettent d’aborder avec les jeunes les questions du consentement, du respect et du droit à disposer de son corps.

En cohérence avec la recommandation n°19 de la CIIVISE, qui souligne l’importance de mettre la parole des enfants au cœur des dispositifs de protection, le Planning Familial favorise leur expression dans des espaces sécurisés et accompagne les adultes référents pour qu’ils adoptent une écoute bienveillante, essentielle à la restauration de la confiance des jeunes.

Ces engagements prennent forme sur le terrain, notamment à Marseille, avec le festival “J’crains dégun” consacré à la lutte contre les violences sexuelles faites aux femmes et aux minorités de genre. La seconde journée du festival, le 25 novembre, s'adresse spécifiquement aux publics scolaires, collégiens et lycéens. Ce rendez-vous est l’occasion de sensibiliser, échanger et agir collectivement pour faire reculer le silence autour des violences.

 

Besoin d’écoute ou d’orientation ? Des ressources à connaître

Le numéro vert du Planning Familial : 0 800 08 11 11
Gratuit, anonyme et accessible du lundi au samedi, ce numéro permet de parler en toute confidentialité avec des écoutants et écoutantes formé(e)s aux questions de violences, de sexualité, de contraception et de consentement.

 

Pour aller plus loin :

> Découvrez le rapport du Groupe Miroir détaillé porté par la CIIVISE, qui place la parole des jeunes au centre de la lutte contre les violences sexuelles et incestueuses.

> Découvrez J'Crains Dégun : le samedi 22 novembre et le mardi 25 novembre, dans le cadre de la journée internationale pour l’élimination de la violence à l’égard des femmes et des minorités de genre

> À écouter aussi : la série de podcasts “Paroles d’enfants” proposée par la CIIVISE recueille la voix de jeunes ayant vécu des violences sexuelles et celle d’adultes engagés à leurs côtés.

Entrée du consentement dans la définition pénale du viol et des agressions sexuelles en France

Un jour historique pour la lutte contre les violences sexuelles

Ce mercredi 29 octobre, la notion de non-consentement a été officiellement adoptée par le Sénat dans la définition pénale du viol et des agressions sexuelles en France. Les résultats sont sans appel : 327 voix pour ! Seuls les élus d’extrême droite s’étaient opposés au texte à l’Assemblée nationale.

L’amendement de ce texte, porté par les députées Véronique Riotton (Renaissance) et Marie-Charlotte Garin (Les Écologistes), et soutenu par Aurore Bergé, ministre de l’Égalité entre les femmes et les hommes, marque un tournant historique dans la reconnaissance des violences sexuelles.

Il vient acter l’obligation d’un consentement libre, éclairé, spécifique, préalable et révocable, qui ne peut être déduit du seul silence ou de la seule absence de réaction de la victime dans la définition du viol et des agressions sexuelles.

Une redéfinition en accord avec l’Europe

Désormais, le viol est défini par « tout acte de pénétration sexuelle ou tout acte bucco-génital commis sur la personne d’autrui sans son consentement ».

Formulée de la sorte, la charge de la preuve est renversée : il ne s’agit plus pour la victime de prouver qu’elle a manifesté son refus, mais pour la personne accusée de démontrer qu’il ou elle a obtenu un consentement clair. La même logique est appliquée à la définition des agressions sexuelles, à la différence qu’il s’agit d’atteintes sexuelles sans pénétration.

C’est un changement fondamental, puisqu’il rejette l’idée qu’une absence de résistance équivaut à un consentement et reconnaît le phénomène de sidération qui touche de nombreuses victimes.

Cette proposition de loi modifie l’article 222-22 du Code pénal, qui jusqu’ici qualifiait le viol sur la base de quatre critères : la présence de violence, de menace, de contrainte ou de surprise. Grâce à l’ajout du consentement dans la définition du viol, la France s’aligne sur d’autres pays européens (Suède, Espagne, Royaume-Uni, etc.) qui avaient déjà intégré cette notion, et se conforme à la Convention sur la prévention et la lutte contre la violence à l’égard des femmes et la violence domestique, ratifiée en 2014.

Visibiliser et légitimer les victimes

C’est une « victoire collective », se réjouit la présidente de l’Assemblée nationale, Yaël Braun-Pivet. De son côté, Émilie Bonnivard (Les Républicains) souligne que « l’agresseur présumé devra désormais apporter des éléments démontrant qu’il s’est enquis du consentement de la victime », l’objectif étant de mieux protéger les victimes et de les encourager à porter plainte.

En effet, chaque année en France, environ 153 000 personnes majeures sont victimes de viols et 217 000 d’agressions sexuelles. Pourtant, seulement 6 % d’entre elles déclarent avoir porté plainte. Le taux de classement sans suite peut décourager : 94 %, selon une étude de l’Institut des politiques publiques de 2024.

Des études menées dans les pays ayant déjà adopté une définition similaire montrent une augmentation du taux de condamnation pour viol. Bien que cette évolution soit progressive et dépende de la formation des acteurs et des actrices judiciaires, elle reste significative. Par exemple, la Suède a enregistré une hausse de 75 % des condamnations pour viol dans les années suivant sa réforme.

Ce texte nous fait « passer de la culture du viol à la culture du consentement », selon Aurore Bergé, un fait important à noter et qui avait déjà été dénoncé lors du procès des viols de Mazan il y a presque un an.

Durant ce procès, de nombreux sujets avaient été abordés : le viol conjugal, la banalité des profils des violeurs, le phénomène de la soumission chimique… Gisèle Pelicot et son avocat ont pu mettre en lumière les propos et comportements qui minimisent, normalisent, voire encouragent le viol. Ce procès a constitué un moment clé dans la prise de conscience du grand public sur les violences sexuelles et a sans doute contribué, indirectement, à l’adoption de cette nouvelle loi.

 

Pour aller plus loin :

> Consultez la campagne nationale d’information sur le consentement menée par le Gouvernement français et le Secrétariat d’État chargé de l’Égalité entre les femmes et les hommes et de la Lutte contre les discriminations, également relayée sur les réseaux sociaux avec le hashtag #LeConsentementÇaCompte.

> Lisez la page dédiée au consentement sexuel sur Service-Public.fr, qui détaille le cadre légal, les droits et les ressources d’aide disponibles.

> Découvrez le court-métrage « Je te tiens » de Sergio Guataquira Sarmiento (France.tv Slash), qui aborde avec justesse les zones grises du consentement à travers une mise en scène délicate et poétique.

Le Planning Familial 13 fête les 50 ans de la loi Veil

A l’occasion des 50 ans de la loi Veil qui en 1975 a légalisé le recours à l’Interruption Volontaire de Grossesse (IVG), le Planning Familial 13 propose d’ouvrir des espaces de rencontre et de réflexion collective sur l’histoire et les enjeux autour du droit à l’IVG en France.

Nous alertons sur les politiques nationales et coupes budgétaires récentes qui affectent l’accès aux droits des usager-es, les premier-es touché-es étant les publics jeunes et/ou en situation de précarité et les habitant-es des zones rurales. Les risques, ce sont des retards de prise en charge dont des IST non diagnostiquées, des IVG tardives, voire des situations de personnes hors-délais et de potentielles complications. Ces décisions nous fragilisent et entravent nos actions de défense des droits en matière, notamment d’accès aux soins.

Nous pensons que la défense de nos droits à disposer de nos corps et vivre une vie affective et sexuelle libre et choisie est affaire de toustes, aussi nous vous invitons à quatre temps collectifs de réflexion et d’engagement pour continuer à faire vivre ensemble ce combat.

  • Vendredi 26 septembre à 18h au Planning Familial 13 – rencontre et échange avec Raphaël Perrin, sociologue et auteur de l’ouvrage Le choix d’avorter.
  • Mercredi 12 novembre à 19h à L’Hydre au Mille Têtes - présentation de l’ouvrage collectif d’archives T’aurais pas une adresse ?
  • Vendredi 14 novembre à 18h en partenariat avec L’Hydre aux Milles Têtes au Planning Familial 13 – projection et échanges autour d’archives audiovisuelles des MLAC
  • Mercredi 10 décembre (horaires et lieu à déterminer) – rencontre à destination des professionnels des Centre de Santé Sexuelle, Centre Interruption Volontaire de Grossesse, Centre de Gynécologie Sociale autour des pratiques d’accès à l’IVG en Espagne

Pour s'inscrire à la rencontre du vendredi 26 septembre : c'est ici (:

On vous attend nombreuxses !

Notre communiqué de presse : Le Planning Familial 13 fête les 50 ans de la loi Veil !

Contre la destruction de milliers de contraceptifs !

Dans quelques heures ou dans quelques jours, l'administration Trump mettra en œuvre la décision cruelle et idéologique de détruire pour 10 millions de dollars de contraceptifs vitaux.
Ces contraceptifs sont stockés en Belgique et vont être détruits en France.

Le gouvernement français ne peut rester silencieux alors que des stocks de contraceptifs vont être détruits sur son sol, par une entreprise française, et que des millions de personnes sont mises en danger.

Nous avons besoin de vous pour interpeller le gouvernement français et empêcher la destruction de ces milliers de contraceptifs !

Pour cela vous pouvez signer la pétitition : ici ! merci 🙂

Ci-dessous la déclaration commune du Planning familial français, la Fédération Laïque de Centres de Planning Familial (FLCPF), Fédération internationale pour la planification familiale (IPPF), Planned Parenthood Federation of America (PPFA), Sensoa, et Countdown 2030 Europe.

https://www.planning-familial.org/fr/le-planning-familial/declaration-commune-reponse-au-projet-insense-du-departement-detat-americain

Le communiqué à télécharger et partager !

Le premier podcast de Parlons Sexualités !

Parlons-Sexualités lance son Podcast de l’été. L’occasion de parler ciné, séries, romans, etc. Dans l’équipe, pas de critiques à proprement parler, le but est de prendre du recul sur les objets culturels qui nous marquent ou nous questionnent sous le prisme des relations intimes, affectives, sexuelles ; tous les sujets de Parlons-Sexualités !

Voici le premier épisode où Noémie et Jeanne partagent leurs top et flop des films et séries qu’elles ont vues.

Fermeture estivale du Planning Familial 13

Le Planning Familial 13 sera fermé du

Lundi 4 août au vendredi 15 août

Nous réouvrons au public le lundi 18 août

Notre permanence d'écoute sera exceptionnellement sans rendez-vous.

 

Si dans l'été, vous ressentez un besoin d'écoute, que vous avez une question vous pouvez nos joindre

au Numéro Vert : 0800 08 11 11 

sur le tchathttps://www.parlons-sexualites.fr/

ou par mail : questions@leplanning13.org

C'est gratuit et anonyme ! 🙂

☀️Bel été à toustes ! ☀️

Soutenez le Planning familial 13, et adhérez à l'association

Le Planning Familial 13 mène des missions indispensables de prévention et de santé auprès de toute personne ayant des besoins concernant la vie affective, relationnelle et sexuelle. C'est un lieu d'écoute et d'accueil inconditionnel pour des personnes victimes de violence ou de discriminations. Chaque année, ce sont près de 24 000 personnes touchées par nos actions.

Les adhérent·es sont des relais essentiels de la pensée féministe et du mouvement du Planning Familial. Adhérer au Planning Familial 13, c'est soutenir nos actions, partager nos combats et nous permettre d'exister de manière indépendante.

L'extension de la Prime Ségur aux salarié·es du Planning Familial 13 en 2024 et l'annonce par le gouvernement de risques de baisse de subventions fragilisent financièrement notre association. Pour nous soutenir et nous aider à maintenir nos activités sur le territoire, devenez adhérent·e du Planning Familial des Bouches-du-Rhône !

Pour nous rejoindre et adhérer au Planning Familial 13, rendez-vous sur notre page HelloAsso.